L’Algérie se tient constamment aux côtés des causes justes, à leur tête la cause palestinienne, et des opprimés à travers le monde. Dans un contexte international marqué par des tensions croissantes, l’Algérie réaffirme plus que jamais son rôle d’acteur influent et de partenaire fiable en défendant avec conviction les causes justes à travers le monde.
En tant que médiateur engagé pour la paix et la stabilité, l’Algérie à travers ses institutions reste fidèle à ses principes immuables, notamment la défense des peuples opprimés et le respect du droit international, comme l’a rappelé à chaque occasion le président de la République Abdelmadjid Tebboune. Cet engagement souligne la priorité accordée à la cause palestinienne. Le peuple algérien est sur les mêmes traces que son président, profondément attristé devant le génocide qui est perpétré dans la bande de Ghaza, réitérant la position immuable de la position de l’Algérie à l’égard de la Palestine "qu’elle ait tort ou raison".
En effet, c’est le cas de la famille de l’éducation à travers ses syndicats qui s’apprête à réaffirmer son soutien indéfectible au peuple palestinien. En effet, en réponse aux crimes perpétrés contre les civils palestiniens dans la bande de Ghaza, les syndicats du secteur de l’éducation nationale lancent un appel à l’ensemble des enseignants et personnels éducatifs pour organiser un rassemblement de solidarité au sein des établissements scolaires, demain 7 mai, à partir de 10h.
Pour les syndicats, le silence complice de la communauté internationale et la passivité des grandes puissances face aux violations des droits humains constituent « une honte morale pour l’humanité ».« La pause du 7 mai sera marquée par la lecture d’un message de solidarité, suivie d’une minute de silence à la mémoire des martyrs de Ghaza : enfants, femmes, enseignants, élèves et citoyens innocents », lit-on dans le document commun signé par une vingtaine de syndicats.
En condamnant les violences, les déplacements forcés et les politiques de colonisation, les syndicats tiennent à interpeller la communauté internationale sur sa responsabilité morale et juridique face à ce qu’ils qualifient de « violations sans précédent des droits humains ». Enfin, ils rappellent que la pause du 7 mai est une occasion pour renouveler l’engagement en faveur de la solidarité, de la lutte et de la résistance. C’est aussi, ajoutent-ils, une leçon pour éduquer les jeunes à défendre le droit, rejeter l’injustice, s’attacher à la liberté et refuser toute forme d’asservissement.