Depuis des années, facultés et instituts se recherchent dans les ténèbres des réformes, des changements « à la tête », des circulaires, des « qui nomme qui » et de la foire aux cuistres et aux opportunistes.

A leur arrivée, ils expriment le souhait ’’de voir l’universitaire couronnée de succès dans tous les aspects de manière à faire de ce lieu un espace d’épanouissement de l’étudiant et d’élargissement de ses perspectives de réussite’’. 
Pour redorer le blason de notre université, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. M. Kamel Baddari, est seul maître à bord et représente son secteur en répondant de tout. 
Depuis son arrivée à ce poste le 8 septembre 2022,  le cheval de bataille de M. le ministre est la qualité par la compétence et la vision lointaine des choses. Et ce n‘est pas que de vains mots.  Les idées novatrices qu’il prône et qu’il a inculquées à ses collaborateurs commencent à donner des fruits.
C’est une façon nouvelle de réfléchir qui est née depuis son accession à son poste qui fait leurrer tant de attentistes. Aujourd’hui, l’’université algérienne se donne des couleurs grâce aux efforts consentis par tout ce beau monde de ce secteur névralgique, et le classement croissant dans les rankings internationaux, comme l’illustre le Times Higher Education Impact Rankings 2025 qui la place en tête du Maghreb avec 53 universités classées, incluant des établissements comme l’Université d’El-Oued qui se distingue particulièrement, le confirme à plus d’un titre. D’autres indicateurs comme le classement UNIRANKS 2025 montrent également une présence algérienne significative avec 79 universités vérifiées. 
Poursuivre la même politique est le maître mot du département de  Baddari, qui est déjà sur le terrain en prévision de l’actuelle année universitaire.
A ce titre, un nouveau dispositif à travers tous ses établissements pour renforcer l’encadrement pédagogique, a été annoncé par Baddari. Il s’agit d’une vaste opération de recrutement de pas moins de 4 112 postes budgétaires supplémentaires, au titre de l’année académique 2025/2026. 
Dans le détail, le secteur recrutera 2 941 maîtres-assistants,  719 professeurs hospitalo-universitaires et  156 chercheurs permanents. 
Ces nouvelles recrues viendront prêter main-forte à l’effectif actuellement en exercice et qui encadre tout de même, pas moins de  1,6 million d’étudiants. 
Cette démarche permettra, donc, d’atteindre les standards internationaux en termes d’encadrement pédagogique.  
«Actuellement, on compte un enseignant universitaire pour 22 à 24 étudiants, un taux appréciable qui est proche de la norme universelle qui est celle d’un enseignant pour 20 étudiants», selon les précisions du ministère de tutelle.  
La mise à disposition des moyens facilitera aussi l’accueil des étudiants de plus en plus nombreux à chaque rentrée universitaire.
A ce titre, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a mis tout en œuvre pour assurer une année universitaire dans de «bonnes conditions», et réunit les conditions pour accueillir les étudiants, notamment les nouveaux, leur permettant d’entamer leurs études dans une atmosphère sereine et sans aucune pression.